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lundi 1 janvier 2018

Injures publiques de Haratine Alerte aux autorités Mauritaniennes et aux Mauritaniens.


Que les Haratine reçoivent des injures racistes, esclavagistes, serait un fait banal, normal surtout quand elles viennent du cercle du pouvoir Mauritanien et de ses tentacules affliées.

Tapa Coulibaly, un soninké du village Oulouboni, qui réside à Nouakchott, dans le quartier de Kouffa, vient de traiter les Haratine de « bâtards bestiaux sans âmes qui doivent accepter d’être les esclaves maures éternellement, comme lui, qui accepte sans complexe d'être un esclave au service d’un groupuscule soninké par héritage dans un audio Whatsapp incendiaire, d’une violence verbale inouïe. » L'homme est le chouchou protégé du ministre Amedi Camara et certains hauts fonctionnaires, des soi-disant « dignitaires »  originaires du Guidimakha tapis dans l’entourage du pouvoir.

Voilà les coordonnées de cet homme qui sort de l'ordinaire, qui lance un défi aux autorités Mauritaniennes, à l’ensemble de la Mauritanie, en disant  que l’esclavage restera une réalité qui va continuer à exister quoiqu'on fasse ou dise.
(00222 41 99 53 67)
(00222 46 81 16 31)

N’a-t-il pas raison quelque part, en sachant  que se sont les fonctionnaires de l’état,  qui refusent que  la loi soit appliquée? Deux policiers soninké sont chargés à  tirer d’affaire cet homme à chaque fois qu’une plainte est déposée contre lui. Ils escortent Tapa Coulibaly à chaque fois que son cas est soumis dans les commissariats de Nouakchott pour le faire libéré. Il s'agit de: Fode Diabira né à Ajar et Dramane Camara, ils exercent aux commissariats Sebkha 1 et Thieb-Thieb.

Nous leur disons qu’en protégeant un tel monstre dangereux pervers individu, qui insulte des ethnies pour semer des troubles communautaires, faisant l’apologie manifeste de l’esclavage, qui prêche la violence communautaire gratuite, est un jeu très dangereux de la part des fonctionnaires de l’état Mauritanien, qui seront tenus responsables en cas d’un drame un jour. Tapa Coulibaly doit répondre de ses actes ignobles devant les juridictions compétentes du pays au vu des propos dangereux qu’il diffuse partout dans le Whatsapp via d'un groupe des extrémistes féodaux du Guidumakha qu’ils ont appelé grossièrement « Démocrita Islamique » 

Le groupe n'a pas été reconnu par les autorités françaises selon une source sûre, ils veulent modifier leur nom avec le "développement du Guidumakha" pour demander la reconnaissance officielle de l’état Mauritanie avec l'appui des féodaux politiciens proches du régime de Nouakchott. Attention, Attention, Attention, danger en cours qui vise la Mauritanie et les mauritaniens.....

Rappel de la loi contre l’esclavage et ses séquelles, et si seulement la loi était appliquée ?

Article 17 : L’auteur de production culturelle ou artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de deux cent milles (200.000) à deux millions  (2.000.000) d’ouguiyas. La production est confisquée et détruite

Article 18 : Tout wali, hakem, chef d’arrondissement, officier ou agent de police judiciaire qui ne donne pas suite aux dénonciations de pratiques esclavagistes qui sont portées à sa connaissance est puni d’un emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de cinq cent milles(500.000)  à un million (1.000.000)  d’ouguiyas.

Article 19 : Quiconque profère en public des propos injurieux envers une personne considérant qu’elle est esclave est puni d’un emprisonnement de deux (2) à six (6)  mois et d’une amende de dix milles (10.000) à deux cent milles(200.000)  ouguiyas.


Voici les graves diatribes   de Tapa Coulibaly en envers les Haratine : https://www.youtube.com/watch?v=QngP7kwx9QM&feature=youtu.be

Le ministre Amedi Camara assiste à une cérémonie d’apologie de l’esclavage.

Vidéo, Tapa Coulibaly est accompagné du ministre Amedi: https://www.youtube.com/watch?v=2wZadEjQb1M

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