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mercredi 31 mai 2017

Communiqué de presse : Tentative de spoliation à caractère raciste dans le foncier au Brakna


مبادرة إنبعـــاث الحــــركة الانعتـــــــاقية
INITIATIVE DE RESURGENCE DU MOUVEMENT ABOLITIONNISTE EN MAURITANIE

IRA - Mauritanie

Le Wali du Brakna, Abderrahmane Ould Mahfouf Ould Khattri, a signé et diffusé,  le 18 mai 2017, un arrêté portant création et organisation d’une commission régionale chargée de l’élaboration des listes des bénéficiaires de parcelles dans l’extension du Périmètre du Casier Pilote de Boghé, d’une superficie de deux mille deux cents dix hectares (2210 ha). Cette commission est  présidée par le Hakem (Préfet) de Boghé.

Les terres objets de l’aménagement sont la source de revenue et de survie des communautés villageoises noires vivant dans plusieurs localités autour de la plaine. Contre toute logique, l’état partisan a tout simplement spolié ces terres pour les donner aux membres de l’agro business arabo et berbères, bafouant ainsi les droits de toutes ces communautés.

En effet, le 07 novembre 2014, le jour du lancement de la « Caravane contre l’esclavage foncier et les expropriations foncières », initiée par IRA – Mauritanie, une délégation formée des représentants des communautés villageoises propriétaires coutumières du site, était venue signifier au Hakem de Boghé son opposition, dans le projet d’aménagement, à la démarche adoptée par les autorités, sans aucune concertation avec les communautés concernées. Cette absence de concertation se poursuit dans la phase finale de distribution des parcelles.   
 
IRA – Mauritanie, tout en encourageant tout effort tendant à faire accéder «les sans terres »  à la propriété foncière, tient à annoncer cette position :
-        Les autorités doivent tenir compte du droit de propriété et leur accorder, prioritairement une partie de la terre qui est leur seule ressource avant la distribution aux non propriétaires.
-        L’expérience catastrophique de la distribution en 1994 des parcelles de l’extension du Périmètre Pilote du Gorgol devrait servir de leçon. Elle s’est faite dans une opacité totale qui a permis l’octroi de parcelles à de personnes étrangères au Gorgol et à la chose agricole, leur seul mérite était celui d’être porteur du capital financier.
-        Les autorités mauritaniennes seront responsables de toute tension qu’engendreront des actes irresponsables sur fond d’injustice dans la distribution des parcelles dans l’extension du Périmètre du Casier Pilote de Boghé.
-        Les communautés villageoises, victimes des agissements rétrogrades à relents esclavagistes des autorités, doivent garder leur calme et agir pacifiquement mais fermement pour le recouvrement de leurs droits.        
                Nouakchott, le 31mai 2017

                                                   La Commission de communication

mardi 30 mai 2017

Quand le général Aziz et son gouvernement ignorent les lois qu’ils sont sensés garantir.

Personne n'a répondu à ma question l'autre  jour, je le regrette mais je viens à la charge encore une fois de plus: pourquoi les fonctionnaires mauritaniens  sensés à respecter et faire respecté la loi,  ignorent-ils royalement les lois du pays ? Un ordre venant d'en haut ou d'en bas, qui viole la loi ne devrait être exécuté en aucun cas.  Surtout quand il s'agit des ordres verbaux qui n'ont aucune valeur juridique de directives données sans note écrite officiellement où du moins en interne. Pourquoi la déportation de Biram Dah Abeid du Guidimakha vers la capitale Nouakchott, les hommes politiques et la société civile n'ont pas bougé le petit pouce ? Qu'est ce qui se passe dans ce pays?  Étrange pays vraiment qui est la Mauritanie. 

Article 17. "Nul n'est censé ignorer la loi."

Et pourtant, le premier garant de la constitution, Mohamed Ould Abdel  Aziz et son gouvernement ignorent la loi malgré qu'ils soient les premiers garants de la loi. Comment peut-on comprendre ça ?  

Article 13 de la constitution Mauritanienne : (Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou puni que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle prescrit.

L'honneur et la vie privée du citoyen, l'inviolabilité de la personne humaine, de son domicile et de sa correspondance sont garantis par l'État.)

Voici les incohérences du régime.

Article 28. (Le président de la République est rééligible une seule fois.)


Article 91. (Nul ne peut être arbitrairement détenu. Le pouvoir judiciaire, gardien de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi.)

Voilà le volet qui dérange l'actuel pouvoir militaire qu'il cherche à supprimer :"De la Haute Cour de justice."
 La suppression de cette institution dans la  constitution donnerait un chèque en blanc au pouvoir de commettre n'importe quel crime sans crainte des poursuites. 

Article 93.(Le président de la République n'est responsable des actes accomplis dans l'exercice de ses fonctions qu'en cas de haute trahison. Il ne peut être mis en accusation que par les deux assemblées statuant par un vote identique au scrutin public et à la majorité absolue des membres les composant ; il est jugé par la Haute Cour de justice.
Le premier ministre et les membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l'exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment ou ils ont été commis. La procédure définie ci-dessus leur est applicable ainsi qu'à leurs complices dans le cas de complot contre la sûreté de l'État. Dans le cas prévu au présent alinéa, la Haute Cour de justice est liée par la définition des crimes et délits ainsi que par la détermination des peines telles qu'elles résultent des lois pénales en vigueur au moment où les faits ont été commis.)

Flagrant délit de l'illégalité du référendum en perspective. En aucun cas le président de la république peut soumettre un projet de référendum, s'il n'a pas le feu vert au préalable d’une confortable majorité dans les deux chambres. La preuve ci-dessous. 

De la révision de la Constitution.

Article 99. (L’initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au président de la République et aux membres du Parlement.
Aucun projet de révision présenté par les parlementaires ne peut être discuté s’il n’a pas été signé par un tiers au moins des membres composant l’une des assemblées.
Tout projet de révision doit être voté à la majorité des deux tiers des députés composant l’Assemblée nationale et des deux tiers des sénateurs composant le Sénat pour pouvoir être soumis au référendum. )

Si Aziz était un homme d'état, il allait démissionner lorsque les parlementaires du Sénat ont rejeté ses propositions modifications constitutionnelles. Mains non, le pauvre incompétent cherche à tripatouiller la constitution à sa guise. Le général Aziz doit être traduit  devant la haute cour de justice, lui et son gouvernement pour haute  trahison de l’état par obstruction  du bon fonctionnement de l'état,  atteinte à sûreté d'état et la stabilité du pays par la destruction des institutions républicaines. 

Article 101. (Toutefois, le projet de révision n'est pas présenté au référendum lorsque le président de la République décide de le soumettre au Parlement convoqué en congrès ; dans ce cas, le projet de révision n'est approuvé que s'il réunit la majorité des trois cinquième des suffrages exprimés. Le bureau du Congrès est celui de l'Assemblée Nationale.)

Diko Hanoune


dimanche 28 mai 2017

Vidéo : Biram Dah Abeid président IRA-Mauritanie dénonce le génocide sur les peulh Mauritaniens


Biram Dah Abeid dénonce vigoureusement le génocide sur les peulh mauritaniens devant la communauté internationale au Canada lors d’une Marche pour l’humanité et la prévention des Génocides. « Les génocides continuent à guetter l’humanité » défendra-t-il.
 « Nous sommes en Afrique un continent très affecté par les génocides. Dans mon pays la Mauritanie  où encore sévit l’esclavage ancestral, des hommes où une catégorie d’homme naît propriété d’autres hommes.

Il y a des génocides, il y a l’élément peulh, la communauté Poular qui a subi une épuration ethnique qui s’est échelonnée entre plusieurs années. Des femmes continuent chaque jour à réclamer la sépulture de leurs enfants, de leurs maris, des enfants continuent à réclamer leurs pères et leurs sépultures ; le gouvernement Mauritanien continue à siéger au sein des Nations Unies allégrement ; à bénéficier de l’aide, à bénéficier d’un soutien………. »  

Le président IRA-MAURITANIE, M. Biram Dah Abeid invité à la marche pour l'humanité et la prévention des génocides au Canada. Était présent, Mme Mélanie Jolie, ministre du patrimoine culturel, le maire de Montréal, Mme Kadiata Ba, présidente IRA-Canada et plusieurs autres personnalités.











jeudi 25 mai 2017

APPEL A PROPOSITION « DE RENDRE GANKANAKHOU FEDE FORMEL ET LE DOTER DE MOYENS ADEQUATS » GANKANAKHOU FEDE.




« Qu’Allah soit félicité »
Par Aliou Ibrahima SAKHANOKHO  de Kaedi.
Assalam  aleykoum  honorables frères et amis,
Dans une lutte pour la liberté,  le respect et la valorisation du droit humain  que nous sommes assignés  comme un  défi constant  de grande envergure à inscrire dans  le temps et dans l’espace. Engagés dans  cette vision globale  pour la préservation  de la dignité , de l’honneur  et du développement de l’homme  passant  par la justice , l’égalité, l’équité  dans toute la plénitude entre les Hommes  sans distinction taillée sur mesure.  La création de GANKANAKHOU  que je définie par  « Egalité- Justice - Paix sociale » un mouvement sur les réseaux sociaux  est venu à point nommé pour éveiller,  conscientiser les victimes sans exception des pratiques esclavagistes persistantes   chez  les soninké  à  soumettre à l’attention de l’opinion internationale. Des pratiques ignobles incompatibles avec  l’épanouissement, au progrès  humain dans notre société soninké que nous allons abolir. Elles sont conséquentes  créant  une communauté à deux  niveaux  spécifiques  dont la  cohésion , l’unité  se voient  mal .L’éveil est aujourd’hui systématique à travers  le monde, la dénonciation permanente de l’esclavage  a  pris une dimension  dépassant  simplement le cadre Mauritanien. Les cadres , les leaders  d’opinion , les islamologues, hommes d’affaires, les associations de droit de l’homme et les jeunes   fédérés  contre cette injustice qui n’a pas de place  dans la société islamique et dans la société moderne est décriée , dévoilée ferment au fil  des secondes  en milieu soninké .

 La détermination  à  éradiquer, et rompre automatiquement avec les  règles courantes d’injustice taillées sur mesure n’accordant aucune dignité à l’homme est certes  de mise  sur les réseaux   sociaux.  La portée des débats  a instruit et motivé  la solidarité entre nous.  L’entame de cette lutte salvatrice sur les réseaux  a un rôle   très important   et nourri une révolution radicale de la fondation de la société soninké.  Une fondation qui n’a aucune justification  d’où  Fausse.  A cette fin, que je suggère de donner à cette lutte  une dimension  internationale  dans un cadre formel. La lutte contre l’esclavage  est universelle  considérée  comme un crime contre l’humanité.il me semble  fondamental que GANBANAKHOU devient, soit une ligue ,  une fondation,  une association , un mouvement  ).Une structure régie  par toutes les dispositions réglementaires (chartes, statut, règlement intérieur, plan  d’action) et un fonds   nécessaire comme vous  le savez mieux . La structure envisagée doit  avoir des moyens  financiers   adéquats pour son opérationnalité, servir à faire participer  nos responsables aux assises  régionales, internationales  pour  Plaider  contre ce  mal  (un crime). Faire  entendre  , revendiquer le respect  du droit humain  entend  qu’on osions entreprendre , traduire nos idées en actions concrètes de terrain   dans  les milieux     l’esclavage , les  pratiques  esclavagistes  sont  saillantes . Cela   va nous amener à  tenir   de  Meetings, de Conférences, des Emissions radio  ,  de Forum,  de Débats  sur les places publiques  médiatisées   de manière pacifique pour sortir de l’ordinaire . Et, créer une revue GANBANAKHOU à rédiger  en Arabe – Français, Anglais) . GANBANAKHOU  ne doit  pas rester  simplement  en  interne, être écouté   entre nous et seulement en soninké d’où la nécessité de se structurer  pour obtenir un poids juridique , une efficacité ,  se doter de moyens de fonctionnement  , forcer une  place  dans le concert  des organisation de  défense  du droit humain  et   prévoir de mécanismes de mobilisation d’un Fonds propre par des cotisations/membres. GANBANAKHOU a en actif  de personnes ressources de qualités  compétentes, fiers de nous mêmes, nous devons mutualiser  nos  potentialités  dans un combat  obligatoire  pour   ce présent et  pour le bien être des générations futures. A savoir que nous sommes  et resterons engagés pacifiquement dans la maturité de nos idées et actions  dans cette lutte contre la discrimination.  Il  faut  plus d’actions de confirmation.

Le support pour prendre en charge nos  idées traduites actions  et les imprévus  de la lutte  nous interpellent à  composer et  mobiliser les ressources financières pour cette cause juste et noble. GANBANAKHOU n’a d’efficacité , d’écoutes et plus d’influence réelle que si  et seulement  si nous nous organisons  dans  une structure officielle dans laquelle les responsabilités sont partagées , coordonnées  , supervisées  suivant les règles et normes  fixées par une direction générale  avec ses commissions  et ses agences . Pour combattre, arrêter une telle injustice, GANBANAKHOU doit devenir un cadre légal  ayant les personnes ressources compétentes, les moyens  signifiants de sa politique. Nous sommes  engagés pour la dignité, la liberté humaine le tout logeant dans l’autonomie totale. Si mon humble suggestion acquiert l’assentiment de GANBANAKHOU Fédé , le travail  peut être confié à une commission pour étude de la structure . Voir éventuellement le pays ou nous pouvons trouver la reconnaissance officielle. Par ailleurs, je propose  la tenue  d’une Journée portes- ouvertes dont l’objectif  est la prise de contact, d’échanges directs entre  les membres d’une même ville ou région ou plus  d’un pays. Cette Journée  à effectuer  sera  prévue pour tous à une même date  (à médiatiser) télé /radio/réseaux sociaux). Pour se faire dans les différents milieux les membres de GANBANAKHOU  fédé  doivent faire  beaucoup de sacrifices par  de contributions  volontaires pour  mobiliser  le Fonds nécessaire à cette rencontre pour ( frais  de location  salle , l’autorisation, les frais médiatiques  ,les pancartes).  Le travail qui est entrepris jusqu’ici  doit  sortir  sur la place publique  étant  Conscients de notre mal ,  la Prise de conscience effective , la  Bataille engagée  nous devons  et devrions rester  Laborieux  , Préservants   mes  chers frères. En premier lieu se faire connaitre, faire entendre la voix de GANBANAKHOU Fédé son objet à l’opinion publique nationale et internationale. Sortons du cercle fermé de façon pacifique et plus que  frappante.  

Cordiales salutations à tous  ceux  et celles  engagés  pour la vérité dans GANBANAKHOU Fédé .
 Par Aliou Ibrahima SAKHANOKHO Dit Excellence. Tel :+222 .44189037 & +22249784904& +22236362432./ Email : aliousakhanokho@yahoo.fr & associationhandicap5@yahoo.fr

Déclaration: Un procès symbolique sur les survivances de l’esclavage et de ses séquelles



Association Mauritanienne المنظمة الموريتانية  
pour l’Eradication de l’Esclavage   للقضـاء علي العبودية
             et ses Séquelles            و رواسبها 
Récépissé n° 0103/MINT/15/01/2008   وصل رقم 0103/و.د/15/01/2008
Tél. : (+222) 41 37 71 04 / 36 60 89 19  /  19 89 60 36  41 37 71 04هاتف :(00222)
Email : ameeskofo@gmail.com       ameeskofo@gmail.com البريد الكتروني :
Nouakchott – Mauritanie    انواكشوط –  موريتانيا


Déclaration


Un procès symbolique sur les survivances de l’esclavage et de ses séquelles vient de se dérouler à SELIBABY le mardi 16 mai opposant les frères DIALLO - Harouna et Madjigui  à Demba Assa Kamara de OULOUMBONI suite à un incident le 26 avril 2017 au cours duquel les deux frères ont bastonné copieusement Demba Assa qui, ayant assisté à une scène où Bonko Bakari Dianifabé insultait les deux frères DIALLO les traitant d’esclaves et descendants d’esclaves.  Demba Assa s'est mis à téléphoner à des amis pour les informer avec beaucoup d’ironie en reprenant les propos injurieux de Bonko  Bakari qui est connue comme déréglée mentale par tous les habitants du village.    
 
Cet  incident a été porté devant la gendarmerie, puis le tribunal de SELIBABY qui a mis en détention provisoire les deux frères DIALLO.
AMEES ayant été informée de cet incident, a constitué Maître FATIMATA Mbaye qui est allée assister les deux frères DIALLO au cours du procès le 15 mai et a demandé leur mise en liberté provisoire.            

Pendant ce temps Demba Assa Kamara est à Nouakchott pour mobiliser toute la fratrie Kamara et proches,et a refusé d’assister au procès de flagrant délit sous aucun motif sérieux de santé et fait peser la pression sur le tribunal par tous les moyens pour obtenir la prolongation de la détention arbitraire des frères DIALLO et ce, malgré tous les efforts déployés par l’avocat, les amis et parents des frères Diallo .

AMEES tient à dénoncer ces  manœuvres esclavagistes flagrantes qui ne visent rien moins qu’à servir d’exemple pour tous les descendants d’esclaves qui oseraient s’opposer aux provocations et insultes de leurs anciens maîtres.

L’AMEES tient à informer toute l’option nationale, les autorités et l’opinion internationale.
L’AMEES exige la libération des frères DIALLO de la prison nauséabonde de SELIBABY et annonce qu’elle poursuivra son combat sur ce cas symbolique pour que justice soit faite.    
 


Nouakchott, le 23/05/2017
Le Bureau Exécutif

samedi 20 mai 2017

On réclame aux autorités Mauritaniennes la libération de Abdallahi Mataalah Seck et Moussa Bilal Biram.....

On réclame aux autorités Mauritaniennes la libération de Abdallahi Mataalah Seck et Moussa Bilal Biram qui sont séquestrés à Birmoghrein ,zone inaccessible qui se situe à 1200km de leurs familles à l'abandon sans soins ni possibilité de visites familiales prises en charge par l'état qui a jeté ces hommes loin de toute civilisation humaine dans un désert à perte de vu à côté de la frontière du Sahara et L'Algérie.

Humainement, la situation est inadmissible, des procédures bafouées, illégales qui ont délocalisé de leur lieu du jugement normal, naturel,  sont à l'origine de cette situation malgré les traités et conventions internationales signées et ratifiées par l'état mauritanien. Le fou faux général Aziz n'a pas la faculté du respect des institutions de l'état et des faux types qui l'entourent, en profitent pour asseoir leur racisme primitif. Pourquoi le silence du fameux comité contre la torture que l'état a mis en place, qu’il a confié à la fille de Tene Youssouf Gueye dont le père a péri en détention arbitraire loin de sa famille à Walata semblable à ces détentions là ? Elle est passée où la fameuse commission des droits de l'homme, le commissariat aux droits l'homme également ?

Pourquoi l'état enfreint les lois et législations et ses hommes et femmes chargés de l'arbitrage entre l'état et les citoyens se taisent voire se terrent en broutant les droits du peuple au nom de la défense des droits de l’homme ? N'est ce pas étrange ? L'enfer demain sera bondé de fonctionnaires mauritaniens qui ne craignent pas le bon Dieu mais un chef de l'état qui n'est rien d'autre qu'un homme comme tout le monde qui sera enterré comme tous les mauritaniens enroulé dans son   sale drap comme linceul.

Nous exigeons la libération des otages abolitionnistes, que la cour suprême sort de son hibernation pour se plancher sur ce dossier qui dort dans leurs placards au bon vouloir de ceux qui gouvernent le pays comme des dieux vénérés vivants. C'est inadmissible cette situation à la fois pour les détenus et leurs familles.

 Nous avons une pensée forte envers nos deux petits frères DIALLO détenus à Sélibaby suite à une bagarre qui a comme source d'incident des propos esclavagistes. Le procureur de Selibaby corrompu qu'il est, doit être chassé de cette région. Il a reçu des liasses de billets selon les nègres féodaux pour humilier deux jeunes frères qui se sont rebellés contre des propos outranciers esclavagistes. Quiconque atteint dans sa dignité ou intimité est mis dans un état à réagir pour se défendre, il n'y a pas eu de violence mais de légitime défense qui aurait entraînée des très légères "blessures" du Kamara qui a provoqué la bagarre.


Diko Hanoune 

vendredi 19 mai 2017

Au nom de quoi Diop Amadou Tidjane ment devant les journalistes ?

Je ne suis pas amère mais dégouté qu’on induise mes meilleurs amis, mes partenaires dans des erreurs. Quelques éléments de réponses aux accusations fallacieuses de Diop Amadou Tidjane sur la chaine Sahel TV en Poular, qui défend, qu’il n’a pas été défendu, ni aidé par l’ONG IRA et ses partenaires alors peut on faire mieux que d’extirper de la prison le premier responsable des arrestations dans l’affaire dite « GAZRA BOUAMATOU » le 29 juin 2016 ? Pourquoi Diop Amadou Tidjane ment devant les journalistes ? Je ne voulais pas parler mais certaines personnes me poussent à rétablir toute la vérité, rien que la vérité. Les preuves que j’ai à ma possession, sont des êtres humains vivants, sans parler des extraits de procès verbaux donc on n’y va. Des militants et sympathisants se sont laissés bernés par des ragots dans Wathsapp et d’autres canaux qui désinforment plus qu’ils informent. Une pensée envers Moussa Bilal Biram et Abdallahi Mataalah Seck et leurs familles qui souffrent les martyrs à 1200km loin de toute civilisation, ils sortiront tête haute. L’état Mauritanien maintient des innocents illégalement à la place du responsable au premier plan.

Amadou Tidjane Diop a dit dans son procès verbal, qu’il était dans son bureau, lorsqu’un certain Thiermo Barro AJD/MR l’a informé qu’il y a des violences, des émeutes à la Gazra Bouamatou. Il appelle Ahmed Ould Hamdi, membre du bureau exécutif de IRA, il lui demande de dire au coordinateur Issa Ould Ali avec les éléments de l’IRA, d’aller illico-presto sur le lieu des émeutes. Lorsque Ahmed Hamdi n’a pas voulu suivre, il s’est tourné alors vers Alassane Sow puis Abdallahi Mataalah Seck et Moussa Biram, les pauvres payent les conneries de Diop Amadou Tidjane actuellement en prison pour trois ans dont 2 ans fermes, à 1200KM, qui se trouvaient à la plage pour chercher du poisson, de quoi à nourrir leurs pauvres familles pendant que le premier responsable de leur arrestation se pavane à Nouakchott, enchainant plateau TV et Radio pour mentir, livrer des faux témoignages.

Diop Amadou Tidjane a convaincu les deux hommes d’abandonner leur maigre pèche pour aller sur les lieux des émeutes immédiatement. Le vice président a appelé et ils s’exécutent. M. Diop reconnait dans son procès verbal de la police que Thierno Barro (AJD/MR) l’informe à nouveau que la violence est acerbe sur les lieux, cela n’a pas dissuadé Diop d’envoyer des militants sous ses ordres sur des lieux en proie de violences. M. Diop dit, qu’il a appelé Hamady lehbouss et Balla Touré qui ont discuté avec lui cette participation aux émeutes. Lorsque la police lui pose la question : est ce que tu les as envoyés à la Gazra pour faire de la violence ? Sa réponse était non, puis, il enchaine car si l’IRA veut faire de la violence, elle envoie à la charge, Alioune Sow, Dah Boushab et Ami Wane. Amadou Tidjane Diop dit avoir rejoint IRA en 2014 sur demande de Biram.

Est-ce qu’en citant Alioune Sow, Dah Boushab et Ami Wane, les trois parmi les meilleurs activistes de IRA, après l’emprisonnement des 13 membres, indexant les trois personnes, sur du faux et usage de faux, il ne cherchait que la décapitation atteigne son point culminant au sein l’organisation ?

Sur les 80 manifestations qu’il prétend avoir « organisé » sur des chimères, dans ces manifestations, M. Diop n’a été organisateur ni participant, les chiffes de 80 et 70 sont archifaux. Et Tous les déplacements de Diop, que ça soit à Rosso ou Aleg, étaient conditionnés sur les cotisations de femmes et jeunes d’IRA-Mauritanie pour lui payer du carburant et d’autres petits besoins. Amadou Tidjane Diop a menti en disant qu’il n’y a pas eu de manifestions lors de leurs arrestations, tout d’abord le nombre de blessés, de fracturés, d’hospitalisés parmi les manifestants de l’IRA enregistrés pendant l’affaire Bouamatou que M. Diop a fomenté avec l’aide des « Renseignements Généraux » n’ont jamais été atteint à ce niveau durant les autres emprisonnements des membres de IRA. Dans la matinée du 30 juin 2016 lorsque Diop était le seul arrêté avant de livrer sa liste, il y a eu deux sœurs fracturées gravement (Khamou et Jemal) sur le champ de bataille. Ensuite Elhadj Id, Hamza Camara, Coumba Ndaw, Cheikh Vall , Samba Diagana etc… la liste est interminable, seront des martyrs fracturés gravement dans des manifestations, sit-in pour exiger la libération de Amadou Tidjane qui nie leurs efforts et courage.

Pourquoi Amadou Tidjane Diop ose dire qu’il n’y’a pas eu de manifestations ? Sans parler des sit-in tenus devant la cour d’appel de Zouerate tout au long de leur procès ou les militants d’IRA se sont déplacés en masse à 700 KM de Nouakchott pour les soutenir.
Amadou Tidjane Diop était il obligé de citer l’appartenance politique à un parti de Thierno Barro ? Pourquoi Diop s’est engagé d’une façon unilatérale à envoyer les éléments de IRA sans avoir l’aval, ni consulté, ni averti le bureau exécutif ou son président ? Est-ce que Amadou Tidjane Diop, vice-président pouvait ignorer que IRA est contre toute forme de Violence ? Est-ce que Amadou Tidjane pouvait ignorer que le régime ne cherchait que la moindre preuve de violence pour justifier la décapitation et l’emprisonnement des membres d’IRA ? En quoi IRA est concernée par ces violences, d’une manifestation violente qu’elle n’a pas organisé, M. Diop ne s’est jamais mouillé pour participer à une manifestation pacifique, pourquoi avoir envoyé des militants vers une manifestation violente en sachant déjà, IRA est contre toute forme de violence ?


Les neufs (9) membres parmi les 13 condamnés, ont été arrêtés sur les indications de Diop, ces appels à participer le jour de la violence ou émeutes Gazra Bouamatou. Pourquoi Amadou Tidjane Diop n’a jamais consulté ni appelé ce jour là, le président IRA-Mauritanie alors qu’il l’appelait pour tous les détails concernant l’ONG et du n’importe ?
Remarque : Coumba Dada kane et Balla Touré ont ramené Diop et c’est eux qui ont appuyé sa réintégration dans IRA en 2014. La majorité avait refusé dont Biram faisait parti. L’argument était clair, Amadou Tidjane était en 2010 dans IRA et n’a pas tardé à quitter en propageant certaines suspicions à l’égard de l’ONG. Puis certains avaient dénoncé sa trahison de l’AJD/MR en soutenant le putsch du général Ould Abdel. Coumba Dada Kane et Balla touré ont réintroduit sa demande de réintégration à 3 reprises et elles ont toujours été rejetées, c’est au bout de la 4ème fois qu’elle a été acceptée en mettant le président Biram dah Abeid en minorité.


Diop n’a jamais été chargé par IRA d’organiser une manifestation ni de participer à une action IRA sur le terrain. Il a participé une seule fois à une marche spontanée lors des arrestations de Rosso, il ne l’a jamais fait avant ni après. Pourquoi spontanément, Diop Amadou Tidjane s’excite, viol la position pacifique d’IRA pour inciter les militants vers des manifestations violentes orchestrées par les renseignements ? Pourquoi Diop a pris cette décision gravissime avec soin en insistant que les militants aillent dans ces violences étrangères à l’ONG ? Auparavant, Amadou n’a jamais appelé un militant d’IRA pour organiser une manifestation ou quoique ça soit.

PS : Que les gens me maudissent ou m’insultent, je réponds AMINE ! La Mauritanie ne peut pas changer avec un tel comportement ignoble, la politique, ce n’est guère de la triche, tromperie, mensonge, mauvaise foi et j’en passe pour gratter un poste ou avantage illégal.


Diko Hanoune/ Militant Abolitionniste.