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vendredi 1 juillet 2016

AZIZ, UN HOMME EN COLÈRE CONTRE LES LEADERS ABOLITIONNISTES




Ce matin vers 1h, Plusieurs policiers, venus à bord de plusieurs véhicules, ont perquisitionné le domicile de Amadou Tijane Diop, ce dernier lui-même ayant été amené sur les lieux après que les recherches se soient avérées infructueuses. AZIZ chercherait-il quelque chose?
Mais quoi donc? 

Il croit impossible la détermination d’un mouvement telle que nous l’observons aujourd’hui auprès des leaders de l’IRA si celui-ci n’est pas perfusé financièrement. Oui, il estime que tout se décide et se fait par l’argent. Il pense au contraire que des fonds émanant de l’extérieur sont à l’origine de cette montée incontrôlable de la marée IRA. L’union européenne, notamment, est pointée du doigt ; les descendants héritiers du pays de « l’Oncle Sam » ne sont pas épargnés!
C’est pourquoi et de sources très sûres, les différentes banques commerciales ont reçu, du ministère de l’économie et des finances ainsi que du gouverneur de la banque centrale, un message dans lequel il leur a été demandé de déclarer obligatoirement l'existence de fonds et/ou des mouvements financiers suspects de comptes au nom de l’IRA. Les suites des échanges sont décevantes. Les banques n’enregistrent aucune traçabilité d'une telle existence. L’exécution d’un plan B s’est donc imposée. 

Il s’agit maintenant pour La police de renseignement du régime d’organiser des rencontres musclées avec les dirigeants de l’IRA, d’aller défoncer leurs portes ; 

La chasse aux sorcières peut commencer. Du troisième vice président de l’IRA, Amadou Tijane Diop, elle s’est poursuivie avec la toute récente mise aux arrêts ce matin de Balla Touré, secrétaire aux affaires extérieures de l'Organisation. Leurs maisons ont été perquisitionnées de font en comble afin de trouver des éléments de preuve pour valider les soupçons selon lesquels le mouvement aurait reçu des mains de l’extérieur, beaucoup et beaucoup d’argent.

Tout ce que je sais, est que nous observons aujourd’hui ce qui en dit long sur l’état d’inquiétude du régime d’AZIZ. On peut certes tuer un homme et détruire ses biens. Mais on ne peut pas tuer des idées et une conviction.

Prière de surveiller vos arrières, vous êtes peut-être le prochain sur la liste.
Thomas Mag  Via Facebook

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