Soyons cohérents dans nos faits et gestes pour avancer L’Afrique

Je suis perdu dans cet océan de mensonges adoubés  par l'hypocrisie. Ceux qui vous disent publiquement que l'esclavage n'existe pas, le racisme non plus parce que non institutionnalisé, que la féodalité est une pure  invention etc. ... sont les premiers à vous dire où taxer en privé que telle personne  est une esclave et qu'ils ont leurs esclaves dans les villages.

Finalement on se rend compte qu'ils sont devenus les vrais esclaves de leurs mensonges, de leur hypocrisie dans la  mauvaise foi, de leur tricherie éhontée n'osant plus affronter la réalité de  leur ignominie en tant que  bourreaux depuis des siècles. Une vraie nouvelle génération de négationnistes endurcis  dans le mensonge. 

Une victime restera une victime à qui le bourreau doit des explications à vie  suivi bien évidemment d'une punition. Les bourreaux d'hier ont tellement peur de recevoir à leur tour les mêmes  châtiments où mêmes coups qu'ils ont donné avec plaisir, à cœur de joie à leurs victimes  au point qu'ils paniquent rien qu'en imaginant le retour du bâton.

Évidemment il faudra s'y attendre au retour du bâton tôt ou tard qu'ils craignent autant  s'ils   ne prennent pas le devant pour se repentir  en annonçant publiquement  leur regret, leur  remord sur le sort qu'ils ont fait subir aux victimes,  demander le pardon en  s'excusant envers  les victimes non  persister à nier  la souffrance de leurs victimes qui dure des siècles. 

L'argument qui consiste  à  nous vomir  que l'esclavage n'existe pas ,vous n'êtes  pas responsable des actes commis  par vos parents et ancêtres sans pouvoir  avancer la moindre preuve où acte  que vous avez combattu vos propres parents afin qu'ils arrêtent leur crime qu'ils commettaient sur des innocents  ne tient nullement debout sinon pourquoi vouloir aujourd’hui que les occidentaux assument  la colonisation de l'Afrique d’hier  et vouloir imposer le contraire le contraire entre les  africains?

Soyons cohérents dans nos faits et gestes pour avancer L’Afrique.

Diko hanoune