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samedi 21 novembre 2015

Les « Salafistes » souillent l’emblème et la fierté des Mauritaniens.


 
Nom de Dieu tout puissant, je suis hors de moi-même, ces imbéciles terroristes «Salafistes» souillent l’emblème, la fierté des Mauritaniens. Rien que dans cette semaine, un collègue Tunisien m’interpelle : « as-tu regardé le match Tunisie-Mauritanie » ?

Je lui réponds non, il me dit : « score 2-1 en faveur de la Tunisie mais les Mourabitounes mauritaniens avaient gagné le match, l’arbitre les a volés la victoire, vous jouez bien »

Je suis choqué, voila pourquoi après les attentats de Paris dont 130 morts, au Mali on parle de 27 morts etc…. La patience à ces limites, je demande aux Mauritaniens de raser les mosquées salafistes sans épargner non plus leurs barbes puantes. Nous ne pouvons tolérer ces assassins qui tuent pour salir notre foi et nos emblèmes.

Qui sont-ils ces terroristes qui commettent des horreurs au nom de l’islam ? Vous allez être très surpris :

« Al-Mourabitoune est actif dans la région de Gao, au Mali, et au nord du Niger, une partie de ses combattants sont liés financièrement au trafic de stupéfiants. L'organisation dispose également de contacts en Tunisie, en Libye, au Soudan, ainsi qu'en Égypte avec le Groupe des partisans de la maison sacrée, et au Nigéria avec Boko Haram1. »

D’où vient le nom d’Al-Mourabitoune ?

« Le nom de Al-Mourabitoune, qui signifie les Almoravides, est choisi en référence à la dynastie berbère des Almoravides qui régna aux XIe et XIIe siècles sur l'ouest du Sahara jusqu'au sud de la péninsule Ibérique7. »

Pire encore, ces terroristes passent par la presse mauritanienne pour revendiquer leurs actes barbares, on vient d’annoncer que c’est en cours d’authentification donc il n’y a plus rien à attendre. Ils ont des connexions en Mauritanie, on se demande si ce n’est avec la complicité de leurs semblables « terroristes officiels » c'est-à-dire ces faux généraux Mauritaniens qui mettent en avant le terrorisme pour se maintenir au pouvoir tout en soutenant en bas les terroristes.

Diko Hanoune

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