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jeudi 27 août 2015

Village de Gorilkhé où la jungle de l’ignorance obscurantiste entre « maitres et esclaves SONINKE » ?


Hier soir Radio Diaguilly  débat en langue soninké sur l’esclavage et ses séquelles, un troubadour nommé Sallé Sidibé ressortissant du village de Gorilakhé vivant à Paris, le nom administrativement du village est M’Beidiya Sakha dans le département de Ould-Yengé , dans la commune de Dafort était l'invité principal de l'émission  en face de lui l’abolitionniste Hanounou Dicko  pour expliquer le caractère néfaste de l’esclavage. Des attaques surtout personnelles à caractère ethnique n’ont pas manquées les auteurs étaient  sans véritable arguments moraux, religieux et humanistes qui auront du mal à se conformer aux lois.   

Sallé Sidibé défend mordicus sans surprise comme un parasite qui suce, pille le fruit du dur labeur des autres, au nom des rituels traditionnels esclavagistes de l’antiquité en héritage de ses aïeux dont il ne sait même pas comment ils sont devenus esclaves dans son intérêt personnel selon ces délires sur le sol français. Il se dit esclave et fier de l'être et s'érige contre les abolitionnistes qu’il traite de tous les noms d'oiseaux sur terre.

C’était tellement curieux d’étendre cet homme qui délire, qui défend accepter d’être esclave et si fier dans son intérêt  reprendre le discours officiel que les abolitionnistes  mènent le combat contre l’esclavage pour récolter de « L’ARGENT » comme si la communauté internationale distribue   l’argent à flot aux ONG ? Si c’était vrai et qu’il  roule uniquement pour son intérêt d’être esclave, pourquoi ne prend-t-il pas le combat à bras le corps pour récolter comme les abolitionnistes les mêmes dividendes  sur le sol français depuis les années 1974 qu’il est là en France ?  Pire, quant on n’a jamais versé un euro dans les comptes des ONG, comment peut on imaginer qu’elles récoltent de l’argent ?

Quel que soit l’âge de certains mauritaniens, ils n’auront aucune pudeur à mentir fièrement pour défendre une ignominie, effectivement M.Sallé Sidibé est libre de vivre comme bon lui semble dans son intérêt ou pas, seulement il n’aura jamais le cheque en blanc d’inciter même ses propres enfants à vivre comme il a vécu à fortiori l’autrui.

Nous dénonçons l’égoïsme barbare, sauvage des mentalités rétrogrades de  la féodalité noire, vous imaginez à un instant ce que défendent ces sauvages ? Vous avez beau à être compétent dans tous les domaines, vous ne pouvez avoir un mot à dire dans un village pour conduire  la société vers l’avenir, n’en parlons pas dans un pays ? Certains féodaux soninkés  croient dur comme l’acier que chaque village fonctionne comme un royaume qui fonctionne hors des lois de la république islamique de Mauritanie. Mais où va-t-on dans se pays ?

Extrait de la Note d’alerte : « Les mentalités féodales rongent les mauritaniens de l’intérieur comme de l’extérieur »

«  de punir par la loi les apologistes publics  qui entretiennent à travers des animations, des chants et des danses, les complexes de supériorité ou d’infériorité  par  le biais  des coutumes ancestrales : (Niaxamala, Gawlo, Iguiw ou Griots etc.)  au sein de nos sociétés, tribus ou castes dont le seul but est d'humilier, de diminuer l’Homme, et de lui soustraire des fonds par harcèlement verbal, moral  ou  régler des comptes  avec certaines catégories de la société ;une situation de faits qui incite à la haine, au mépris de l’autre, polluant ainsi l’ambiance naturelle au point de menacer la sérénité, l’unité et la cohabitation entre  les citoyens ; »


Source : Bano Sidibé

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