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mercredi 22 octobre 2014

Droit de réponse à Doudou Elimane Diabira, un sauvage féodal soninké ivre de haine qui s’est permis de traiter les haratine de « brutaux et sauvages ».



Lettre ouverte à Son Excellence monsieur Biram Ould Abeid (son rêve)
Plus que consternant, quand Biram dénonce la barbarie féodale dans les villes et villages du sud, ils s’en prennent à toute la communauté haratine. Comment comprendre dans son charabia, un féodal soninké ivre à mort par la haine signant des diatribes au nom  de Diabira  se permet de traiter les haratine de « brutaux et sauvages » ? Est ce que dans son discours, Biram s’est adressé à l’ensemble des haalpoulars, soninkés, haratines, maures, wolofs ou aux féodaux esclavagistes qui sèment la terreur dans les communautés noires y compris les haratines?  Pourquoi cette passivité du pouvoir face à ces énergumènes qui se croient au dessus de la loi éternellement? On comprend Biram ait mis le doigt là ou ça fait plus mal, nous entendons les hurlements de douleurs des féodaux, reconnaissons la féodalité noire représente le virus Ebola du siècle qui détruit le tissu sociétal de nos sociétés malgré l’ivresse manifeste d’amertume de certains complexés nègres.





Doudou Elimane Diabira :  « Cher Biram, c’est toi qui a des ambitions politiques, alors c’est toi qui a besoin du soutien de la communauté Soninkée, wolof, Pulaar et Maure, si tu veux changer les mentalités, et les comportements, je te demande de t’en prendre autrement, sans continuer à ternir l’image du hartin connu avant pour sa brutalité, sa sauvagerie etc… »




Est ce qu'avoir des ambitions politiques, ouvrent droits aux injures sur toute la communauté haratine? Est-il interdit d'avoir des ambitions politiques dans un pays où les féodaux se croient sur un terrain conquis d'avance?  

Monsieur Diabira  n’avait il pas lu que Monsieur Abeid dit clairement qu’il n’a pas besoin le soutien des féodaux nègres ? Pourquoi ces gens se permettent de parler au nom de toutes les communautés alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité sans importance au sein de ces communautés ? En quoi peut-on lire dans les propos de Biram qui généralisent ? Sans le soutien des différents pouvoirs esclavagistes, féodaux, est ce que cet homme osera insulter toute une communauté gratuitement comme si rien ne s’est passé ?



Voici Les propos qu’on prête à Biram sont là alors :



« Pour moi l’esclavage et la féodalité n’ont pas de couleur », a-t-il dit avant d’ajouter «et il y a des féodaux et des esclavagistes parmi les Soninkés, les H’ratines, les Pulaars, les Wolofs, lesquels sont esclaves des maures, rampent devant les maures à cause de l’argent, à cause des postes, à cause de la peur, mais qui une fois au village ou devant les autres Noirs se considèrent comme des personnes supérieures. Je leur dis vous n’êtes rien du tout, vous ne venez de rien, vous n’êtes rien, vous ne pouvez rien et vous ne seriez rien. Ils sont esclaves ici dans les bureaux … avec les maures et quand ils partent au village, ils disent nous sommes supérieures, ce sont des ordures »



Eh  oui tout le monde sait ce qui est dit ici reflète la vérité alors qu’un certain Diabira s’en ivre de haine, on s’en félicite vivement. Ceci est un signe avant coureur du début de la fin des privilèges illégaux des féodaux dans les villes et villages du Sud.





Mohamed Ould Boudha- IRA-Mauritanie


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