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lundi 10 février 2014

Pour le général Aziz, il faut affamer les Mauritaniens pour les gouverner avec le slogan « président des pauvres »



Crise alimentaire en Mauritanie : quand les comptes sont toujours négatifs
« Les enfants ne peuvent pas supporter la faim, alors quand il n’y a pas assez pour tout le monde, je leur donne ma part », explique Assid Mint Mana, de la communauté de Natriguel, en Mauritanie. »


« J'avais cinq chèvres. J’en ai vendu trois il y a plus d'un mois pour acheter du riz, ce  qui nous a permis de survivre jusqu’à maintenant. Je serai obligée de vendre les deux qui me restent à court terme pour tenir encore quelques mois. » « Et après ? » « Après rien », répond, le regard baissé, Aminata Ndiaye, tout en continuant d’allaiter le plus jeune de ses cinq enfants, à Kagnadé, une communauté du sud de la Mauritanie. 


Aidez moi à comprendre les nègres Mauritaniens, je ne comprends absolument rien dans leur logique à part du voyez moi, j’existe, je vous le ferai savoir tout le temps y compris par la méthode la plus offensante. Par exemple je m’attaquerai individuellement non aux idées de la personne qui fait plus d’efforts sur le terrain que les autres parce que j’aimerai qu’on parle de moi c’est tout. Eh oui, depuis des années, les terres cultivables des pauvres populations sont confisquées pour le compte des Saoudiens, Emiraties, chinois, des hommes avec des poches pleines de pétrodollars, tout à fait parce qu’ils ont compris l’argent ne se bouffe pas ni le pétrole non plus, ils ont compris aussi leur devoir de nourrir leur population bien sûr même s’il faudra affamer  les mauritaniens et les africains en général. D’ailleurs ils ont raison, oui si je serai un jour président patriote, je ferai la même chose pourvu que je puisse laisser derrière moi un peuple heureux et fier. Qu’est ce qu’ils ont à foutre ces rois du pétrodollar de notre misère ? Sont ils responsables de l’insouciance, l’inconscience du général Ould Abdel Aziz. Aucun parti, mouvement politique ne descend sur le terrain pour défendre l’intérêt des citoyens, tous sont préoccupés par une chose, la candidature de Biram Dah. Chacun aiguise son couteau, sa hache, son coupe-coupe, d’autres ont des fusils chargés et n’attendent que l’occasion se présente à eux pour l’abattre pendant se temps là, le régime continue sa politique d’affamer les populations au bénéfice des pays du golfe. Vivement un président patriote, vivement une opposition patriote, vivement un peuple patriote, vivement des citoyens désintéressés par le matériel conformiste, vivement une administration au service du citoyen non au service d’un président complément à côté de la plaque.



Diko hanoune

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