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vendredi 22 mars 2013

Combien de temps ce seront toujours les mêmes qui trinquent?



Les images suivantes ont été prises lors d’opérations de déménagement forcé des habitants des bidonvilles à Alèg (le 3 mars 2013, Alakhbar à droite) et à Toujounine, près de Nouakchott (le 19 mars 2013, Taqadoumy à gauche).
Une question se pose d’elle-même: si on admettait que les habitants des bidonvilles sont des pauvres, comment expliquer qu’en deux lieux différents, en deux dates différentes, dans deux journaux différents on ne voit que des Hratine parmi ceux dont on détruit l’habitat?

Le lot quotidien réservé aux hratin est partout le même; déguerpissement, marginalisation, châtiment, dénuement, discrimination, stigmatisation et j'en passe

Jugez-en par vous-mêmes en observant les images suivantes:










 

 

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