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lundi 23 avril 2012

Quand El Hor cherche à décapiter IRA : A qui profite l’hémorragie ?

A cause d’une divergence de vision et de stratégie sur la problématique de l’esclavage en Mauritanie, Samory Ould Bèye, syndicaliste et homme politique, animateur d’une dissidence au sein du parti APP et partisan du retour d’un mouvement quatre-vingt huitard dénommé El Hor, semble mener une guerre acharnée contre l’Initiative de résurgence du mouvement abolitionniste (IRA) de Birame Ould Dah Ould Abeid. En l’espace de quelques semaines, il parraine en effet avec fracas des cérémonies marquant la dissidence supposée de groupes quittant l’IRA, faisant ainsi la part belle au régime en place, si heureux que quelqu’un puisse mener à moindre frais une purge au sein du mouvement antiesclavagiste le plus redouté à sa place.
C’est dans ce sillage qu’un nouveau groupe, présenté comme des dissidents du mouvement IRA ont animé jeudi dernier une conférence de presse annonçant leur divorce avec Birame Ould Dah Ould Abeid. Mais par delà les raisons avancées ici ou là, par les groupes débauchés soit par le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz ou par Samory Ould Bèye, se pose la problématique d’un fonds de commerce bâti sur le nom d’IRA, qui semble inspirer de plus en plus les chasseurs de prime. Au passage, c’est tout un combat pour la libération des esclaves et l’affranchissement des Haratines qui se trouvent compromis par ceux-là qui sont sensé en raviver la flamme. En effet, tous ces transfuges qui semblent avoir choisi on ne sait pour quel symbolique l’hôtel Khatter pour leur mise en scène, ne vivent que l’instant d’une apparition télévisée, avant de sombrer dans l’oubli.
Pour justifier son approche, Samory se dit opposé aux méthodes de lutte prônées par son benjamin Birame. Alors que lui privilégie l’approche pacifiste pour l’émancipation des couches harratines et esclaves, par le dialogue et la sensibilisation, mais aussi par l’éducation et l’apprentissage du temps, sans couper le cordon ombilical avec les communautés d’attaches, à savoir les Arabo-berbères, les méthodes radicales de Birame semblent le rebuter. Il lui reproche en effet de vouloir chercher l’émancipation des Harratines et des esclaves par la révolution, certes pacifique, mais combien porteuse de violence, ainsi que la création d’une nouvelle communauté Harratine distincte de la communauté Maure.
Pour l’instant, IRA n’a pas encore réagi aux nombreuses provocations de Samory Ould Bèye, mais pour certains cadres du mouvement, cette guerre intestine au sein de l’élite Harrarine ne fera qu’affaiblir leur cause et faire le jeu des esclavagistes.
Cheikh Aïdara.

Note et partage de lecture du mot "fond de commerce"


 
Adoulaye Yero Dia, avec un niveau de lycéen, je viens de  battre avec plaisir des doctorants en mensongelogie  dans la compréhension du sens des mots et la tournure des phrases de la langue française. Je comprends pourquoi le continent africain souffre, n’avance pas,  avec des faux diplômes qui circulent apparemment à gogo lol. Notre problème est qu’on ne cherche pas à acquérir des compétences pour servir mais se servir, c’est exactement le cancer  des noirs Mauritaniens .Attention quand je dis noir ,le terme englobe toutes les ethnies confondues : haratine, peul, soninké, wolof, bamara, . Vous venez de vous mettre le doigt dans l’œil, les lecteurs sont éclairés maintenant sur votre mauvaise foi et de celui que vous défendez maladroitement Mr  Abdoulaye Diagana  Kassataya. Ce dernier sait pertinemment de quoi je parle et pourquoi j’ai réagi. Vous êtes gravement touché par une cécité haineuse, anti- l’émancipation des haratine. Ce qui nous diffère, moi Dicko hanoune, je ne suis pas haineux ni rancunier, donc vous n’avez pas besoin de vous cacher derrière des pseudos pour nous bombarder avec vos mensonges et diffamations. En tout cas, on vous connait pas sur le front des droits humains, vous dites que je suis nul, alors qu’est ce qui empêche Mr Abdoulaye Yero Dia de prendre à bras le corps ce combat , en plus vous obtiendrez vraiment ce que vous voulez à savoir me ridiculiser? Faites mieux que Ould Ciré un vieux que vous avez insulté lâchement sans même le connaitre, Biram, Messaoud, Boubacar Messaoud, Dicko la cible et proie facile qui se débat férocement au milieu d’un océan de requins lettrés ignorants , etc… Si l’affaire de Samory Ould Beye se retrouve sur la toile, il faut remercier Dicko que vous méprisez avec arrogance dans une folie de grandeur d’extravagance.  Je l’ai fait, parce que je suis contre l’actuel discours et  les idées de Samory Ould Beye qu’il fait circuler en ce moment.  Je n’ai pas à me rougir de cela, voila le lien :http://haratine.blogspot.fr/2012/04/samory-ould-beye-nous-sommes-contre-que.html

Vous avez beau agité des eaux troubles, je ne changerai d’un iota ma position. Pour moi seule la lutte contre les injustices qui passera forcement par une dénonciation active et acharnée contre les mensonges et l’hypocrisie compte. Toute injuste repose sur  le mensonge, la falsification  et la trahison. La vérité est que nous avons beau à crier l’arabo-berbère est mauvais, raciste, esclavagiste ,ceci et cela, admettons qu’il y a aussi des noirs extrêmement mauvais et dangereux pour la cohésion sociale du pays comme vous Abdoulaye Yero Dia. Les arabo-berbères sont aidés dans leur sale boulot par des  negres de service comme vous, qui n’ont ni honte ni pitié de la souffrance des communautés noires. La plupart des rapports envoyés pour la consommation des pays occidentaux sont rédigés par des negres du système, donc ils sont peut être même plus méprisant que nos différents chefs d’état.

Quand El Hor cherche à décapiter IRA : A qui profite l’hémorragie ?
Cheikh Aïdara  journaliste de l’authentique : « C'est dans ce sillage qu'un nouveau groupe, présenté comme des dissidents du mouvement IRA ont animé jeudi dernier une conférence de presse annonçant leur divorce avec Birame Ould Dah Ould Abeid. Mais par delà les raisons avancées ici ou là, par les groupes débauchés soit par le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz ou par Samory Ould Bèye, se pose la problématique d'un fonds de commerce bâti sur le nom d'IRA, qui semble inspirer de plus en plus les chasseurs de prime. Au passage, c'est tout un combat pour la libération des esclaves et l'affranchissement des Haratines qui se trouvent compromis par ceux-là qui sont sensé en raviver la flamme. En effet, tous ces transfuges qui semblent avoir choisi on ne sait pour quel symbolique l'hôtel Khatter pour leur mise en scène, ne vivent que l'instant d'une apparition télévisée, avant de sombrer dans l'oubli. »

Sur ce, je vous laisse dans votre case d’ignorance et diatribes.

Diko hanoune
 

1 commentaire:

  1. mes frere vraiment du courage
    on est tre content des votre travailll vaux
    information courage on ira jouska au bou inchallahou
    IJAZA KALLAHOU FIHOUM MS FRERE%

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