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lundi 27 juin 2011

Les deux hommes qui ont empêché les criminels au sein de l’armée Mauritanienne de dormir


 

 Diagana Mamadou Youssouf et Dia Ousmane


DIAGANA Mamadou Youssouf dit Ibnou est né à Kaédi en 1960. Il effectua ses études primaires et secondaires dans cette ville avant d'aller passer la terminale à Nouakchott. Après le baccalauréat en 1982 et à l’issue d’un concours d’Officiers de l’armée nationale qu’il a réussi en Octobre 1982. il intègre l’école Militaire Interarmes d’Atar   (l’EMIA ) pour une formation de 2 ans. Après sa formation, Il fut muté à la 2éme région militaire dans les unités opérationnelles à Bir Moghrein avant d’être envoyé en spécialisation en France en 1986 à l’école de cavalerie de Saumur pour une formation en armes blindées et cavalerie.
A son retour en Août 1987, il a été muté au GABAN (Groupement Blindé de l’Armée Nationale), jusqu’aux évènements du coup d’état imaginaire de 1987 dont le dictateur sanguinaire, cerveau du racisme d’état en Mauritanie, l’idole du général Ould Abdel Aziz  Mr Maouiya Ould Taya s’est servi pour  opprimer en toute impunité les noirs. Diagana Mamadou Youssouf  a été arrêté avec beaucoup de frères d’armes et amis. En 1988, mutation  à l’EMIA comme commandant de Brigades des jeunes sous Officiers de l’armée où il a servi jusqu’à leur arrestation le 06 décembre 1990 sous le fallacieux prétexte d’un autre complot de coup d'état qui n’a existé que dans le cadre imaginatif du chauvinisme primaire des  Bassistes et le Nasséristes pour l’aboutissement de leur projet de dénégrification de la Mauritanie. Il est actuellement Président de l’Organisation Contre les Violations des Droits Humains (OCVIDH),  il est membre fondateur de plusieurs ONG de Droits de l’homme en Europe dont OCVIDH, CAMME, AVOMM, COME et d’autres structures informelles CODIMAU, CSGP ,FNDD-France etc… pour la promotion des Droits de l’homme en Mauritanie. C’est un  militant  implacable contre le racisme, l’impunité des tortionnaires, contre l’esclavage, pour la démocratie et pour l'établissement de la vérité sur les tueries extrajudiciaires et toutes les autres formes discriminatoires qui entravent l’unité nationale pour que surgisse l’essor de développement de la Mauritanie riche de ses ressources nationales et de sa diversité multiculturelle.
Diagana Mamadou Youssouf n’arrive toujours pas à faire le deuil de son frère d’arme, camarade, compagnon de lutte, l’ex-officier de l’armée Dia Ousmane paix à son âme qu'il appelait copieusement  « la force tranquille  de la diaspora Mauritanienne». Il témoigne larme aux yeux sur son caractère d’un militant sincère des Droits Humains inoubliable, un combattant des libertés, un proche des victimes, un homme de terrain, un rebelle contre tous les arbitraires et toutes les injustices en Mauritanie. Diagana Mamadou ne cessera de  me répéter Dia Ousmane  a été un homme discret, humble, sociable, stratège surtout très efficace sans fanfaronnade ni grosse tête.

Diagana Mamadou Youssouf , Dia Ousmane et  leurs plaintes contre Elarby Ould Zidenne Ould Sidi Ali premier vice président de l’actuelle assemblée nationale, Soumaré Lassana stagiaire à l'école de guerre à Paris en 1995

En 1995 grâce les réseaux de renseignements pour la traque des tortionnaires, confirment la présence de deux colonels en stage à Paris alors qu'ils étaient tous les deux commandants de régions militaires pendant les arrestations arbitraires des militaires Négro-africains en novembre 1990, cependant les régions que commandaient ces deux colonels ont également été secouées par des violences, le colonel Elarby était même responsable du camp tristement célèbre de Jreida, assumant le commandement de la 6éme région militaire par intérim en l'absence du colonel  Ould Sabar, qui est le titulaire du poste, malade en évacuation sanitaire en Algérie, ou il succomba suite à une longue maladie.Quand  au colonel Soumaré Lassana un négro-africain actuellement à la retraite,  commandait la 3éme région militaire, responsable moral de cette garnison ou il y a  eu des arrestations arbitraires et d'autres traitements inhumains et dégradants qui nécessitent que chacun répondent de ces actes. En tout état de cause, les témoins, responsables ou présumés coupables, souhaitent, une justice indépendante et que  toute la lumière soit faite sur cette période sombre de l'histoire de l’armée nationale.Les deux colonels ont  pu se s’extirper de leur séjour en France, à cause de la lenteur de la justice française et la procédure d'enquête interne au sein du ministère de la défense, ayant relevé que le nommé Elarby Ould Ziddeine n'existait dans leur caserne  et jugeait la requête irrecevable jusqu'à l'exfiltration très malicieuse de deux colonels en 1995, pendant que leurs victimes: Diagana Mamadou Youssouf, Diallo Mamadou Samba et Fall Demba, se battaient  comme des lions pour que justice se fasse.
Depuis Elarby a gravi tous les échelons et haut commandement, il était Chef d'état Major jusqu'au coup d'état qui balaya Maouiya Ould Sid 'Ahmed Taya, il occupe actuellement la fonction du premier vice président de l'assemblée nationale  et député en toute impunité, pendant que les victimes du camp de Jreida continuent de demander justice, vérité  et réparation.
Il est  à signaler que l'affaire Ely Ould Dah, n'est arrivée  qu'en juin 1999, après  plusieurs tentatives de plaintes avortées, sur Boilil, Elarby etc....du réseau Diagana Mamadou et ses compagnons de lutte.
Puis d'autres cas similaires Le colonel Kébirou, exfiltré vers l'Espagne, le colonel Lekouar, dans sa fuite précipitée, oublie les bijoux en or de sa femme dans un hôtel huppé de Paris, que  l'ex- ambassadeur en place Dah Ould Abdi  récupère (mystérieuse affaire non élucidée)
Feu Dia Ousmane est arrivé en décembre 1997 rejoindre son ami Diagana, dés son arrivée connu pour son sérieux au pays par son rôle de rassembleur et sa probité a été   élu à la tête de l'Avomm, que Diagana, Ndongo, Thierno Diacko et Diallo Mamadou Samba avait crée  juste après l'affaire Elarby où il y a eu constat de déficit d'association des Droits de l'homme d'aides aux veuves et aux rescapés restés au pays dans le dénuement total..Ainsi donc, après plusieurs réunions au Foyer d'Aulnay sous bois dans les chambres de Thiam Souleymane Ex trésorier des Flam et de Yall Aliou tous membres des Flam, il a été décidé  la création de l'AVOMM, et de la décision d'y faire part à tous les militaires présents en France afin d'organiser une assemblée générale permettant  de présenter, le projet,  ses statuts et règlement intérieurs pour amendement , puis  son adoption.
Le mandat de feu Dia Ousmane  a été remarquable, le premier geste humanitaire  en direction de nos veuves et rescapés  a été mis en marche, l'envoi des médicaments, des cuisinières, des frigos et de nombreux matériels de cuisines  au profit de ces derniers mais sous la supervisons du Docteur Dia Alhousseynou.
Ils  avaient decidés à l'époque de créer des restaurants à ces veuves afin qu'elles puissent élever les enfants des martyrs laissés au pays sans assistance mais compte tenu des difficultés et des divergences énormes entre les unes et les autres, l'ONG s'est éloignée de l'idée.
Alors Dia Ousmane et Diagana amis depuis l'armée mauritanienne, ayant servi ensemble au  GABAN (groupement des blindés) à Fdérick, se comprennent et se complètent parfaitement ont décidé de continuer la traque des tortionnaires.
En juin 1999  grâce aux mêmes réseaux d'informateurs, ils ont été informé du stage de leur ancien ami capitaine Ely Ould Dah à l'école d'administration de Montpellier.
Il est à rappeler que Ely Ould Dah et les deux ex Officiers se connaissaient trés bien et avaient tissés des liens assez amicaux et cordiaux pour avoir servi ensemble à Fdérick à la 2éme région militaire
Diagana Mamadou se rappelle encore en Septembre 1987 de l'arrivée du sous lieutenant Ely Ould Dah à Fdérick, muté pour la première fois  ou il a fallu s'occuper promptement de ces jeunes officiers en les logeant au mess des officiers dont il était le gérant sans aucun moyen matériel et financier et cela avait permis de nouer une amitié et une confiance entre eux jusqu'aux tristes événements de JreidaEly officier de sécurité militaire est devenu méconnaissable.
Pour le reste en  aout 2000 pendant que feu Dia Ousmane était président et Diagana Secrétaire général de l'Avomm, éclate une crise au sein de l'association  pendant que les deux avaient identifiés formellement leurs tortionnaires à Montpellier suite à une confrontation.
Les uns et les autres  ont reproché à la direction d'avoir permis à Baby Housseynou l'obtention des papiers, pendant que le régime soupçonnait Baby d'être en intelligence avec les opposants notamment  la direction de cette ONG.
Sous   la persistance et des calomnies, les deux amis ont fini par démissionner avec deux autres amis pour aller créer   L'OCVIDH  le 03 octobre 2000 et Dia Ousmane assura la présidence en acceptant le siège à son adresse à Massy et en effectuant les démarches administratives auprès de la sous préfecture de Massy.
Depuis lors précisait Diagana, Massy est devenu le symbole de la lutte des Mauritaniens.
Il est à remarquer la franchise, le sérieux de l'amitié entre ces deux hommes jusqu’à la mort s'en suive  ce 20 Mars 2010 à l'hôpital de Ris Orangis




2-L’historique du procès Ely Ould Dah

C’est une première en France ! Le 24 octobre 2002, la Cour de Cassation rejette le pourvoi d’Ely Ould Dah et renvoie l’affaire devant la Cour d’Assises pour crimes de torture sur le fondement de la compétence universelle.
Au nom de deux victimes, la FIDH et la LDH, avec le soutien de l’Association Mauritanienne des Droits de l’Homme, membre de la FIDH, et les associations de victimes mauritaniennes ont engagé, le 4 juin 1999, une procédure pour l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre du capitaine mauritanien Ely Ould Dah. Ce dernier, à l’époque des faits incriminés, officier de renseignements de la base de la prison de Jreida, est accusé d’actes de tortures contre des militaires négro-mauritaniens en 1990 et 1991.

Mis en examen en juillet 1999 pour crimes de torture puis libéré sous contrôle judiciaire, Ely Ould Dah a pu s’enfuir en Mauritanie malgré une assignation à résidence en France. La justice le rattrape aujourd’hui.

L’article 689-1 du Code de procédure pénale établit la compétence universelle des tribunaux français pour connaître du crime de torture en application de la convention de 1984 contre la torture. Cet instrument essentiel de la lutte contre l’impunité des auteurs des crimes les plus graves n’a jamais, à ce jour, été utilisé à son terme en France. L’unique exemple de son application pénale dans le monde demeure le procès des génocidaires rwandais en Belgique.

Ce nouveau procès arrive à point nommé dans un contexte politique et juridique de dénigrement qui vise à limiter les effets de la compétence universelle. Le procès même par contumace d’Ely Ould Dah constitue ainsi un espoir pour les victimes des crimes les plus graves comme ceux, parmi beaucoup d’autres, commis au Beach de Brazzaville, au Rwanda, en Tunisie, au Tchad...

Pour les victimes, pour la FIDH et la LDH et pour l’exemple, l’arrêt de la Cour de cassation française représente une victoire importante.

Rappel de la procédure :

Avocats de la FIDH et la LDH : Maitres BAUDELOT et OTTAN
Avocats de Ely Ould Dah : Maîtres Luc ABRATKIEWICZ et Gérard CHRISTOL
  • Le 4 juin 1999, la Ligue des droits de l’homme et la Fédération internationale des Ligues des Droits de l’Homme ont engagé une procédure pour l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre de l’officier mauritanien, Ely Ould Dah, auprès du procureur de la République du tribunal de Montpellier sur le fondement de l’article 689-1 du Code de Procédure Pénale qui établit la compétence universelle des tribunaux français pour connaître du crime de torture, incriminé par l’article 222-1, en application de la convention de 1984 contre la torture suite à la plainte de deux ex Officiers de l'armée mauritanienne Diagana Mamadou Youssouf et Dia Ousmane Samba
  • Ely Ould Dah est mis en examen pour « crimes de torture », par la chambre d’accusation de la cour d’appel de Montpellier.
  • Ecroué le 2 juillet 1999, Ely Ould Dah est mis en libération sous contrôle judiciaire, le 28 septembre 1999, à la demande de ses avocats.
  • Le 5 janvier 2000, les avocats d’Ely Ould Dah ont déposé une requête en annulation de la procédure. Elle a été plaidée le 17 février 2000.
  • Le 14 mars 2000, les juges de la chambre d’accusation ont rejeté la requête de la défense, considérant que la procédure ne comportait pas de vices de forme.
  • Le 5 avril 2000, Ely Ould Dah fuit la France et retourne en Mauritanie. Une enquête est ouverte en France pour déterminer les circonstances de sa fuite.
  • Par une lettre du 30 juin 2000 le juge d’instruction demande la communication du dossier de procédure au procureur.
  • Le 25 mai 2001, le juge d’instruction a rendu une ordonnance de mise en accusation d’Ely Ould Dah devant la Cour d’assises.
  • Le 20 juin 2001, l’avocat d’Ely Ould Dah a fait appel de l’ordonnance de mise en accusation. La régularité de ce recours est incertaine car il pourrait avoir été déposé hors délai. De plus la régularité de la notification de l’ordonnance de mise en accusation est elle-même mise en cause.
  • Le 08 novembre 2001, la Chambre de l’Instruction de Montpellier a déclaré irrecevable l’appel d’Ely Ould Dah comme tardif. L’avocat d’Ely Ould Dah a donc formé un pourvoi en cassation.
  • Le 06 mars 2002, La chambre criminelle de la Cour de cassation a cassé la décision de la chambre d’instruction de Montpellier et renvoyé l’affaire devant la Cour d’appel de Nîmes. C’est la régularité de la signification de l’ordonnance de mise en accusation qui justifie cette cassation, cette ordonnance n’ayant pas été signifiée dans les formes requises, le délai d’appel n’a pas commencé à courir et il ne peut donc pas être déclaré tardif.
  • Le 8 juillet 2002 la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Nîmes ordonne la mise en accusation de Ely Ould Dah devant la Cour d’assises du GARD.
  • Le 15 juillet 2002, Ely Ould Dah se pourvoit en cassation.

Apres l’effort,  la récompense

COMMUNIQUE DE LA  FIDH  APRÈS LA CONDAMNATION D’ELY OULD DAH À 10ANS D’EMPRISONNEMENT ASSORTIE D’UNE AMENDE DE 15 000 EUROS POUR LES PLAIGNANTS.

1er juillet 2005, la Cour d’assises de Nîmes a rendu une décision historique en décidant de condamner à la peine maximum de 10 ans de réclusion, le capitaine mauritanien Ely Ould Dah pour crimes de torture sur des militaires négro-africains en 1990 et 1991. Bien que s’agissant d’un procès par défaut, la FIDH, l’AMDH et la LDH rappellent que Ely Ould Dah était représenté par ses avocats. La Cour a répondu par l’affirmative à l’ensemble des chefs d’accusation pour avoir commis directement, ordonné et organisé des actes de torture au « camp de la mort de Jreïda ».

« Aujourd’hui, je pense aux morts, à mes amis décédés suite aux tortures commises à Jreïda. Pour moi qui ai attendu 14 années ce jour, c’est une nouvelle vie qui commence », a déclaré Ousmane Dia, une des 5 parties civiles.

« La FIDH se félicite de cette décision, qui marque un pas incontestable dans la lutte contre l’impunité, dans le sens où elle a permis pour la première fois en France la mise en œuvre de la compétence universelle. Ce principe qui permet de juger un ressortissant étranger pour des crimes particulièrement graves commis dans un pays tiers, est le seul, dans des situations d’impunité totale comme c’est le cas en Mauritanie, qui permette le droit à un recours effectif pour les victimes », a déclaré Patrick Baudouin, avocat des parties civiles et président d’honneur de la FIDH.

La FIDH, l’AMDH et la LDH rappellent que Ely Ould Dah a pris la fuite en 2000, suite à une décision de libération sous contrôle judiciaire et qu’il demeure protégé par les autorités mauritaniennes actuellement, qui, non contentes de ne pas exécuter le mandat d’arrêt international délivré contre lui - et confirmé par les juges de la Cour d’assises de Nîmes hier - l’ont récemment promu.


Je vous remercie infiniment.

Diko hanoune
La lutte continue

8 commentaires:

  1. Analyse très pertinente et vraie qui dérangera certainement ceux qui ne veulent pas entendre de telles vérités!
    Continue DIKO de nous informer sans langue de bois
    YEREL SOW

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  2. Excellent travail de la part d'un militant infatigable des droits de l'homme.
    Diko Hanoune, Voila quelqu'un qui a compris le rôle que doit jouer tout
    Militant de la cause de la communauté noire de Mie.
    En écrivant cet article, Diko met en valeur nos braves hommes
    Qui agissent pour la cause et non pour un quelconque "intérêt" ou un petit"nom". La communauté a besoin des gens comme Dia et Diagana mais hélas, ils ne sont pas nombreux et se comptent au bout de doigts.
    Mille mercis a Diko pour le travail qu'il fait.
    Bayobal

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  3. je ne comprend pas se que vs voulez de la mauritanie. vs etes tous des senegalais allez y laissez notre pays tranquille. tous les negres ne sons pas des mauritaniens. la colonisation est fini. turailleurs senegalais vs devez rentrer chez vous la bas au senegal.

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    1. soyons unie mon frere on est obligé a vire ensemble apprenons a vivre ensemble nous sommes tous mauritaniens que ca soit noir ou blanc nous sommes tous frere

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  4. Bonjour monsieur,Henoune ould Diko.

    TOUT EXCÈS EST NUISIBLE.

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  5. (Anonyme a dit…je ne comprend pas se que vs voulez de la mauritanie. vs etes tous des senegalais allez y laissez notre pays tranquille. tous les negres ne sons pas des mauritaniens. la colonisation est fini. turailleurs senegalais vs devez rentrer chez vous la bas au senegal.)

    Je savais pas que des cons racistes comme ce ignorant existaient toujours en mauritanie. Cet imbécile est un vrai sot qui oublie que lui IL EST NEGRE. A partir de ce jour, je ferais partie de ceux qui sensibiliserons le monde entier et appelerons à nos frère noir de ce pays RACISTE à se soulever contre l'apartheid en mauritanie.

    Oeil pour oeil, dent pour dent.

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  6. Ce sont ceux qui se disent "arabes" qui seront renvoyés chez eux.Bientôt les bérbéres de Mauritanie se joindront aux autres négroafricains et haratines pour vous jetter en mer.L'Afrique aux africains.Nous transformerons vos méres en esclaves et vos péres seront castrés.
    Oeil pour oeil, dent pour dent.La Mauritanie sera Jahanama.

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  7. Les maures sont les esclaves des saoudiens, marocains,et.....Qu'est ce que vous foutez en RIM?Partez, nous n'avons plus besoin de vous en Afrique. Des immigrés qui ont confisqués nos terres,nos vies et j'en passe.Les maures m'ont pas honte

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